La Fédération de Russie compte à ce jour environ 50 supercalculateurs. Selon une étude qui recense leur mode de fonctionnement, près d’un tiers bénéficie aujourd’hui d’une architecture parallèle à base d’accélérateurs GPU. Pour rappel, ce chiffre était de 0 il y a deux ans seulement. Au sommet de la liste figurent les supercalculateurs de l’Institut des Technologies de Moscou et celui de l’Académie Russe des Sciences, les principales applications couvrant les études spatiales et militaires, la conception aéronautique et les recherches sur le cancer.

Cette engouement pour le GPU se retrouve dans l’ensemble des autres BRIC que sont le Brésil, l’Inde et la Chine. Ses bénéfices en termes de coût et de contraintes de déploiement leur permet notamment de rattraper leur retard sur les pays développés.

Si comme Gérard Depardieu vous aimez la Russie, ou plus sérieusement si les détails techniques de ces implémentation vous intéressent, sachez que l’étude en question détaille l’architecture interne de chacune, parfois jusqu’au détail de l’espace disque et de l’infrastructure réseau. Hautement informatif.

Et merci Google Traductions !