Après Microsoft et IBM, qui ont rejoint l’Open Compute Project le mois dernier, c’est au tour de NVIDIA de s’inviter à la table des discussions. Initié par Facebook il y a maintenant plus de deux ans, l’Open Compute Project a pour but, rappelons-le, d’ouvrir les spécifications matérielles et logicielles des composants d’un datacentre. Qu’il s’agisse des serveurs, du stockage ou encore du réseau, l’idée sous-jacente est de développer une infrastructure de calcul qui soit à la fois la plus efficace et la moins onéreuse possible.

L’initiative prenant une réelle ampleur dans l’industrie, avec toujours plus de membres de qualité, l’intérêt pour NVIDIA, comme pour les autres d’ailleurs, est évident. Pas question de ne pas participer, parfois de façon déterminante, aux échanges et aux prises de décisions structurantes relatives à la conception de cette nouvelle infrastructure – sachant par ailleurs que les bonnes idées sont toujours bonnes à prendre. Il faut également préciser que beaucoup de membres du projet – HP, Dell ou SuperMicro, entre autres – sont déjà partenaires de longue de date de NVIDIA notamment pour l’intégration des accélérateurs Tesla. Il devenait donc nécessaire que la marque verte en fût aussi…